Nos engagements en matière de politique sociale et de santé

Dans le dauphiné libéré du jour, le compte-rendu de notre conférence de presse, nous poursuivons avec ce nouveau chapitre.

Alors que les inégalités se creusent, que les droits des individus sont bafoués et que de nouveaux besoins sociaux explosent, les services départementaux sont appelés à intervenir dans de nombreux domaines pour assurer les liens sociaux, les solidarités autour de l’enfant, de la famille, entre les générations, avec les personnes âgées.
- Lutter pour obtenir que l’État compense à l’euro, les allocations de solidarité nationale (APA, PCH, RSA) dont il a imposé la gestion aux départements.
- Ouverture de maisons d’accueil pour les femmes et les enfants en butte à la maltraitance
- Création d’un service public d’aide à la personne avec formation assurée du personnel, qu’il s’agisse de garde d’enfants, d’aide aux personnes âgées dépendantes ou non, ou de faciliter la vie des personnes handicapées.
- Impulser une politique de création de maisons et centre de santé, afin notamment d’encourager à l’installation de jeunes médecins ;
- Pour les personnes âgées, en situation d’handicap, nous proposons la mise en place d’un plan de formation et de valorisation des métiers d’aides à domicile et d’aides-soignantes ;  le département doit donner les moyens aux structures organisées d’augmenter leurs effectifs pour assurer un réel accompagnement, tant sanitaire que social ;
- Rétablissement des financements à des associations comme «La Passerelle»  (lieu de rencontre en présence de professionnels entre les enfants et les parents séparés) dont l’existence contribue à désamorcer les violences familiales.
-Développer la prévention et l’accès aux soins avec du personnel médical et social, des psychologues dans les collèges et autres structures adaptées aux jeunes.